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2 février 2013 6 02 /02 /février /2013 19:37

C'est la chandeleur, fête de la lumière avec ses crêpes avec leur forme ronde et leur couleur dorée qui rappeleraient le soleil que nous attendons. Les crêpes bigoudennes, spécialitées bretonnes, sont réalisées avec de la farine de sarrasin (blé noir) comme pour les galettes. La farine de blé noir donne une souplesse aux crêpes et les blancs en neiges apportent à la pâte de la légèretée. Bonne soirée autour des crêpes!

 

  DSCN1536.JPG

 

Ingrédients :


350g de farine de froment
50/g de farine de blé noir (sarrasin)
100g de sucre
3 oeufs
 1l de lait ou du lait d'amande
 
Préparation :  
1-Mettre dans un saladier, la farine, le sucre, le sel, le sucre vanillé, 2 jaunes d'oeuf (réserver les blancs dans un bol), 1 oeuf entier. 
2- Battre les blancs en neige
3- Mélanger en ajoutant le lait petit à petit, garder l'équivalent d'un bol pour la fin.

4- Incorporer à la pâte les oeufs en neige et ajouter le reste de lait.


Le petit plus
A volonté : 1 sachet de sucre vanille ou de l'essence de fleur d'orangé (une petite cuillère à café) ou une cuillière à soupe de rhum. Vous pouvez rajouter de l'eau si vous trouvez votre pâte trop épaisse.
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11 juillet 2012 3 11 /07 /juillet /2012 15:01

Un conte dans la ligné de la tradition bretonne mais aussi une mélodie empruntée au répertoire traditionnel irlandais Cad e don te sin. Telle une légende, l'épopée fantastique de Korydwen nous est chanté.

 

 

 

 

 

 

 

Korydwen et Rouge de Kenholl Tri yann Belle et rebelle-1990

 

Korydwen, Korydwen, pourquoi t'en être allée

au premier jour de mai de ta quinzième année,

fillette1 païenne, couronnée d'épis de blé,
à la fraîche fontaine, dans le bois aux sorbiers ?


De s'en venir de Vannes trois hommes, trois cavaliers,

au Pardon de Sainte Anne s'en allant chevaucher,

de Sainte Anne près de Nantes, sur un rocher dressée.

Et Korydwen d'entendre les cloches sonner.


Le premier des cavaliers, de pierreries couronné,

cheval blanc2 comme est blanc le marbre de Carrarz en été.
- A Sainte Anne, belle païenne je t'y mènerai.

- Viens donc, viens donc en selle... Mais il n'eut achevé.

 

Que sa peau tombe en lanières sur son corps tout desséché,

et qu'en chimère de pierre soudain se trouve transformer.  

Et ses bras tombent en poussières, en poussières tombent ses deux pieds2.

Et de ses cendres, cendres grises, la fontaine est brouillée.


Plongeant l'épée dans l'ève, le second des cavaliers

rendit claire la source et plus fraîche d'emblée.
D'une tortue la tête ornait son casque d'acier,

ses écailles recouvraient sa cuirasse cirée.


- Qui es-tu, dit Korydwen ? - Bartholan le guerrier3!

Je suis le fils de la vague et de l'océan je suis né.
- L'océan ne fait naître que sirène ou bien que sorcier.

Au Pardon de Sainte Anne jamais ne te suivrai !


De la fraîche fontaine au troisième des cavaliers,

Korydwen en sa bouche de l'ève claire a versé :

- Tu es jeune et tes yeux sont de jade émaillés;

de quel pays viens-tu sur ta pourpre haquenée?


- D'où je viens, sept moulins tournent dans les vents salés

qui font ma barbe rose comme rose du rosier.

On m'appelle Le Rouge à Kenholl4 où je suis né.

Et à Sainte Anne, au Pardon, je m'en viens pour te mener !

De bondir tous les deux dessus la folle haquenée.

Sonnaient, sonnaient les cloches de vers Nantes au clocher.
De chevaucher trois jours et deux nuits sans s'arrêter,

sans boire et sans manger, de colline en vallées.

 

Mais Korydwen s'étonne à la troisième soirée.

- Je n'entends plus qu'à peine les cloches sonner.
- Ce n'est rien, dit Le Rouge, le vent a dû tourner.

Viens païenne, sur ma couche de paille de blé1...

 

Ils repartent au matin dessus la folle haquenée.

Ils traversent des forêts de salicornes dressés,

plus vertes que sont les algues et que d'Irlande les prés,

sans boire et sans manger, trois jours deux nuits sans s'arrêter.

 

Korydwen s'étonne à la sixième soirée :
- Je n'entends plus les cloches du Pardon sonner !
- Tu te trompes Korydwen, tu te trompes ma bien-aimée;

c'est le vent! Il est tard, allons nous coucher.


Quand Korydwen s'éveille à la septième rosée,

elle est seule sur la couche de paille de blé.

 A la place du Rouge elle découvre à son côté

des serpents et un miroir brisé.
 

 

Et Korydwen d'y plonger son regard pour le croiser,

mais le visage qui lui fait face de la faire sursauter :

c'est celui d'une vieille femme1 d'au moins cent cent et dix années

dont des serpents5 dévorent les pauvres seins déchirés.


Et Korydwen de voir son maigre sang couler,

et la terre le boire et sa mort arriver.
Et de son ventre froid soudain s'envole un épervier6

qui plonge dans la Loire, en saumon enchanté7.

 

 

1 La Vierge, la Mère et la Vieille Femme sont les représentations de la déesse mère Cerrydwen.


2 Pour les Bretons, l'Au-delà s'ouvre près une rivière ou au fond d'un lac. Le temps de l'Autre-Monde s'écoule différemment du notre, une année peut valoir des siécles. Il arrive qu'un chevalier passe dans l'Autre-Monde et traverse des épreuves; le héros s'il ne respecte pas les recommandations  peut être condamné à errer éternellement, il peut aussi, s'effondrer en poussiére s'il y est rester trop longtemps...

 

3 Le guerrier Scot, Partholan, envahissant l'irlande par la mer.

 

4 Le cavalier rouge de la légende arthurienne

 

5 Le serpent détient d'immenses pouvoir, il est associé au mal, à la regénération.


6 L'épervier en Bretagne est considéré comme une créature du Diable, messager de l'autre monde (l'au delà).

 

7 La légende irlandaise de Finn McCool qui pêche un saumon enchanté, le saumon de la connaissance. Après l’avoir mangé, Finn serait devenu un homme intelligent.

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7 juillet 2012 6 07 /07 /juillet /2012 21:29

 Les paroles de Kalonkadour  nous emmènent dans l'univers magique propre à la Bretagne. La mélodie reprise pour Kalonkadour est Planxty Irwin, un air irlandais de Turlough O'Carolan, composé sans doute après la guerre d'Utrecht en 1713, car les paroles originales parlent d'un Colonel Irwin qui a été shérif dans la région de Sligo à la même époque.

 

 

 

 

 

 Kalonkadour Tri Yann (Café du bon coin-1983)

Au bord du lac de Kalonkadour
J'ai vu la harpe aux cordes rouillées
Le marronnier cacher la vipère
La pluie brûlante en larmes tomber
J'ai vu la vague souiller la terre
J'ai vu deux filles aux seins desséchés
Et leurs enfants nus que le froid lacère
Au bord du lac de Kalonkadour

Au bord du lac de Kalonkadour
J'ai vu la mouette en corbeau changée
L'air du matin plus lourd que l'ébène
Le rossignol en aigle enchanté
J'ai vu la boue jaillir des fontaines
Fleuve de sang des forêts gicler
Entendu le chant de cent mille sirènes
Des fonds du lac de Kalonkadour

Au fond du lac de Kalonkadour
J'ai vu le miel couler du glacier
La goutte d'eau gelée par l'aurore
Faire éclater plus de mille rochers
Le coudrier se faire lance d'or
J'ai vu des rois de chiens enfantés
Et j'ai vu des chênes plier alors
Au fond du lac de Kalonkadour

Au fond du lac de Kalonkadour
J'ai vu l'oiseau en flûte enchanté
J'ai vu tomber du buisson l'épine
L'épée d'ajonc pourfendre l'acier
J'ai vu Janus que le cerf domine
J'ai vu le rat en goéland charmé
Et en vierge alors enchantée l'hermine
Au fond du lac de Kalonkadour

J'ai vu fleurir la harpe d'amour
Au fond du lac de Kalonkadour

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29 juillet 2011 5 29 /07 /juillet /2011 22:52

 

  Près d'un lavoir, ne vous y attardez pas la nuit, Passant !


Il se pourrait que des lavandières, un drap blanc,

de laver, frotter, avec elles, vous demandent en riant;

cadeau elles vous feraient de ce linge bien odorant.

Sur les coups de minuit un chariot s'en irait grinçant

et sur cette terre vous passeriez vos derniers instant...

 

Il est aussi dit, que la curiosité les taraudants...

Ces braves passants (plus vivants) tout en lavant,

auprès des lavandières, du pourquoi, du comment,

par trois fois furent insistant.

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24 juillet 2011 7 24 /07 /juillet /2011 17:51

DSCN1156.JPG

 

Détail architectural, d'une maison datant de l'époque du moyen âge, à Vannes (56).

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11 juillet 2011 1 11 /07 /juillet /2011 19:43

Fontaine du Daourit, datant du XVIIe siècle, est en granite; elle a été classée monument historique en 1926. Située dans le bourg, près de l'église Saint-Pierre, rue du Daourit; elle porte aussi le nom de Saint Nicolas car sa statuette est placée dans la niche surplombant le bassin principal. L'ensemble comporte une niche avec une avancée, sorte de portail reposant sur deux colonnes en forme de balustres.

 

 

St-Nico-Pelem--5.jpg

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3 avril 2011 7 03 /04 /avril /2011 16:36

La fête druidique celtique de Samain est plus connue sous la forme irlandaise Halloween dont la date (le 31 octobre) et sa thématique (la vie, la mort) correspondent celle de Samain. C'est une célébration marquant la fin de la période des récoltes et l’arrivé  l’hiver. Dans la tradition celtique, la fête de Samain est celle de la réunion du monde visible et invisible, le jour de l'année où les vivants pouvaient avoir accès " à l’Autre Monde ". La fête chrétienne de la Toussaint, n’a été instituée qu’au IXe siècle par le Pape.

La fête de Samain est d'une certaine manière un nouvel an : la transition de la fin d'un cycle au début d'un autre, hors du temps.

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3 avril 2011 7 03 /04 /avril /2011 12:54

Le Bro gozh ma zadoù (Vieux pays de mes pères) est le chant national  Breton. Il est inspiré de l'hymne national du Pays de Galles, Hen Wlad Fy Nhadau (Vieille terre de mes pères). L'hymne de Cornouailles, Bro Goth Agan Tasow l'équivalent en cornique, reprend lui aussi l'air de l'hymne gallois. En Bretagne, ce chant fut d'abord un cantique ; l'air est importé du pays de Galles par W. Jenkyn Jones, Gallois protestant arrivé sur Quimper. Il crée des paroles en breton sur l'air de Hen Wlad Fy Nhadau, et François  Jaffrennou  (1879-1956), alors lycéen, s'inspire de ces paroles, tout en utilisant sa maîtrise du gallois pour remonter au texte original, et créer la version que l'on connaît aujourd'hui.
Le texte sort en 1898 dans La Résistance de Morlaix, et fut imprimé avec sous-titre Henvelidigez (Adaptation). Il parait dans le livre An Delen Dir en 1900 ("La harpe d'acier"), et commence sa vogue dans les réunions des étudiants bretons de Rennes, qui en firent leur chant de ralliement.

 

En breton

 

Refrain
O Breizh, ma Bro, me 'gar ma Bro.
Tra ma vo mor 'vel mur 'n he zro.
Ra vezo digabestr ma Bro !

1 - Ni, Breizhiz a galon, karomp hon gwir Vro !
Brudet eo an Arvor dre ar bed tro-dro.
Dispont kreiz ar brezel, hon tadoù ken mat,
A skuilhas eviti o gwad.
2 - Breizh, douar ar Sent kozh, douar ar Varzhed,
N'eus bro all a garan kement 'barzh ar bed,
Pep menez, pep traonienn, d'am c'halon zo kaer,
Enne kousk meur a Vreizhad taer !
Refrain
3 - Ar Vretoned 'zo tud kalet ha kreñv ;
N'eus pobl ken kalonek a zindan an neñv,
Gwerz trist, son dudius a ziwan eno,
O ! pegen kaer ec'h out, ma Bro !
Refrain
4 - Mar d'eo bet trec'het Breizh er brezelioù bras,
He yezh a zo bepred ken beo ha bizkoazh,
He c'halon birvidik a lamm c'hoazh 'n he c'hreiz,
Dihunet out bremañ, ma Breizh !


En français

Refrain
O Bretagne, mon pays, que j'aime mon pays
Tant que la mer sera comme un mur autour d'elle.
Sois libre, mon pays !

1 - Nous Bretons de cœur, nous aimons notre vrai pays !
L'Arvor est renommée à travers le monde.
Sans peur au cœur de la guerre, nos ancêtres si bons
Versèrent leur sang pour elle.
Refrain
2 - Bretagne, terre des vieux Saints, terre des Bardes,
Il n'est d'autre pays au monde que j'aime autant ;
Chaque montagne, chaque vallée est chère dans mon cœur.
En eux dorment plus d'un Breton héroïque !
Refrain
3 - Les Bretons sont des gens durs et forts ;
Aucun peuple sous les cieux n'est aussi ardent ;
Complainte triste ou chant plaisant s'éclosent en eux.
Oh ! Combien tu es belle, ma patrie !
Refrain
4 - Si autrefois Bretagne, tu as fléchi durant les guerres,
Ta langue est restée vivante à jamais,
Son cœur ardent tressaille encore pour elle.
Tu es réveillée maintenant ma Bretagne !
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5 janvier 2011 3 05 /01 /janvier /2011 20:47

Cette fois-ci,une pensée pour la bretagne, les habitants de ses îles et les marins, avec le texte poétique Marie-Jeanne-Gabrielle que je souhaite partager.

 

Marie-Jeanne-Gabrielle
Entre la mer et le ciel
Battu par tous les vents
Au raz de l'océan
Ton pays

s'est endormi
Sur de belles légendes
Illuminant son histoire
Gravées dans la mémoire
Des femmes qui attendent
Les marins d'île de Sein

Raconte-nous l'enfant que tu étais
Courant du sable fin aux galets
Parle-nous de ces jeunes gens
Sautant les feux de la Saint-Jean
On pouvait croire au paradis
En ce pays
Chante-nous si tu t'en souviens
Pour passer le Raz de Sein
Le Cantique à Sainte-Marie
Qu'on ne chante qu'ici !

La peine et l'ennui, de l'automne à l'été
On ne vit qu'au rythme des marées
De la naissance au grand Sommeil
Règne le flambeau de la Vieille
On mêle la cannelle
Au parfum des chandelles
On dira pour embarrasser
La mort : "Joie aux Trépassés"
Car sur cette terre fidèle
Les âmes vont au ciel

Quand le jour s'achève au-dessus de la Grève
Sur la pierre écorchée de l'île
On croit voir au fond de la brume
Comme des feux qu'on allume
Ou la barque ensorcellée
Qui apparaît
Menaçante, elle vient jeter
La peur sur les naufragés
Et le noir habille la vie
Des femmes du pays

La vie a changé sur le court chemin
Du Néroth à Saint-Corentin
On ne reste plus très longtemps
Isolés du continent
Même les Anciens ne reviennent
Qu'au printemps
Et la mer a tourné le dos
Aux pêcheurs des temps nouveaux
Elle entraînera les marins
Loin de l'île de Sein

Marie-Jeanne-Gabrielle
Entre la mer et le ciel
Battu par tous les vents
Au raz de l'océan
Ton pays
S'est endormi
Il garde son histoire
Au plus profond des mémoires
Et l'on dit à Paris
Qu'il est beau le pays
Des marins
D'île de Sein

 

Louis Capart (Auteur-compositeur)

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20 décembre 2010 1 20 /12 /décembre /2010 20:40

Qui dit Irlande, dit Celte et triskell. J'avais appris que le triskell en Bretagne représentait la terre (douar) le feu, (tan) et l'eau (dour) mais, en faisant des recherche, il apparait qu'il n'y aurai que des hypothèses.

 

  C'est un symbole représentant trois jambes humaines (triskell du premier type), ou aussi de trois spirales entrecroisées (triskell du second type  ou le triskel laténien qui est caractérisé par sa partie centrale en forme de triangle aux côtés concaves). Il peut être aussi repésenté par une roue à branches évoquant le mouvement circulaire perpétuel autour d'un point central.


 L'historique, la linguistique permettent de comprendre son contexte. Triskell est un mot issu du grec triskeles,  qui se traduit par "3 jambes" et en breton, il signifie "trois rayons".  

Bien qu'il soit apparu dans diverses cultures et à différentes périodes, il est considéré comme une caractéristique importante de l'art celtique à l'époque de la Tène (second âge du fer) Ve - IIe siècle av. J.C.).  On en retrouve des traces sur de nombreuses monnaies et bijoux datant parfois de 450 à 200 ans avant JC.  Les hommes du mégalithique l'aurai déjà utilisé  pour orner leur mégalithes (la plus ancienne empreinte est gravée dans la pierre du site de New-Grange, en Irlande. Le triskel réapparaît à la fin du VIème siècle dans l'art mérovingien, puis  tombe de nouveau dans l'oubli au Moyen Âge, sauf en Irlande où il retrouve dans les enluminures. En Bretagne, il est redécouvert vers les années 1920. 

 

irlande-107.JPG

 

Les différentes explications sur la signification du triskell

 

Il pourrai être associé au soleil, parce qu'avec ses trois branches,  il regarde dans les trois directions et  surveille l'univers.

 

 

Il représenterai les trois éléments primordiaux, l'air (en haut), l'eau (à gauche qui s'enroule comme une vague), la terre (à droite, comme une pousse de fougère qui se déploie). Le feu n'est possible que par la présence de deux éléments primordiaux, terre et air, et ne serait pas considérée comme un élément primordial.


Il serai possible d'expliquer d'un point de vue mythologie celtique avec les 3 dieux principaux : Lug (le dieu primordial), le Dagda (le dieu-druide) et Ogme (dieu guerrier). Il évoquerai aussi le caractère trinitaire de la déesse unique (fille, mère et épouse).

 

Il y a d'autres théories explicatives sur le triskell; qu'il n'est pas possible d'en retenir une plus qu'une autre.

 

 

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